Ta critique a le mérite de juger ce film sur ce qu’il est, et non sur ce qu ‘il aurait pu ou dû être. En sortant du film j’étais en colère aussi, pour les raisons qu’évoque Patrick. Mais bon, le film ne remplace pas le bouquin, je peux toujours le lire quand j’en ai envie. A trop s’ attacher à l’oeuvre écrite lors d’une adaptation cinématographique, on pourrait reprocher à Tarkovski d’avoir vidé de son sens Solaris ou Stalker pour en faire du théâtre expérimental filmé à la limite du ridicule, ou à Kubrick d’avoir pondu avec 2001 un bazar boursouflé et abscons 
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Par : Phil lebon
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